Avocats en droit des affaires
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Bail commercial
Conseils et contentieux
- Rédaction d’un contrat de bail commercial adapté à votre situation
- Conduites des pourparlers, examen de projets de bail en vue de la signature d’un bail commercial
- Renouvellement du bail commercial
- Obtention d’une indemnité d’éviction
- Litiges relatifs aux travaux, aux calculs du loyer et aux montants des charges
- Résiliation, d’un congé avec ou sans offre d’indemnité d’éviction
- Procédure d’expulsion ou de toute autre procédure judiciaire dans le cadre du bail
Fonds de commerce
Conseils
- Conduite des négociation, examen des clauses contractuelles et rédaction d’un projet de cession ;
- Vérifications préalables : titularité du fonds droit au bail, clientèle, enseigne, etc.
- Purge des éventuels vices de la cession : droits de préemption le cas échéant, agrément du bailleur, autorisations administratives nécessaires, garantie de renouvellement du bail etc. ;
- Vérifications relatives aux contrats de travail en cours ainsi qu’aux charges sociales afférentes ;
- Examen de l’ensembles des contrats commerciaux en cours et nécessaires à l’exploitation du fonds (franchises, licences, contrats de distribution…) ;
- Mise sous séquestre et transfert du prix de la vente ;
Contentieux
- Contestations relatives aux vices cachés ;
- Contestations relatives à la valeur du fonds ;
- Tout autre litige dans le cadre de la cession d’un fonds de commerce
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Création de sociétés
Conseils
- Choix de la société
- Rédaction des statuts
- Rédaction des pactes d’actionnaires
- Réalisation des formalités en vue de l’immatriculation
Conflit d’associés
Conseils et contentieux
- exclusion d’un associé ;
- abus de majorité ou de minorité ;
- exécution forcée d’un pacte d’actionnaire ;
- nullité d’une délibération ou d’une assemblée générale ;
- sanction de la violation des statuts ou d’un pacte d’actionnaire ;
- non-respect d’un engagement de cession ou d’acquisition de parts ou d’actions ;
- révocation du dirigeant,
- responsabilité civile du dirigeant (faute de gestion, faute détachable)
- remboursement du compte courant d’associés
Contentieux des affaires
- Procédure d’injonction de payer devant le Tribunal de commerce en cas d’existence d’une créance impayée ;
- Référé devant le Tribunal de commerce en cas d’urgence ou d’évidence et obtention d’un jugement provisoire au terme d’une procédure rapide ;
- Procédure au fond devant le Tribunal de commerce pour obtenir un jugement définitif tranchant l’intégralité du litige;
- Appel devant la Cour d’appel compétente afin de contester le jugement rendu par le Tribunal de commerce.
Comprendre le droit des affaires et le rôle de l’avocat en droit des affaires
Le droit des affaires est un domaine juridique essentiel qui encadre les activités commerciales et les relations entre les entreprises. Que vous soyez entrepreneur, dirigeant d’entreprise ou investisseur, il est crucial de comprendre les enjeux du droit des affaires. Cet article vous expliquera ce qu’est le droit des affaires, le rôle d’un avocat spécialisé dans ce domaine, et pourquoi il est conseillé de faire appel à ses services.
Qu’est-ce que le droit des affaires ?
Ce domaine du droit regroupe l’ensemble des règles juridiques qui régissent les activités commerciales. Cela inclut le droit des sociétés, le droit commercial, le droit fiscal, le droit de la concurrence, ainsi que les contrats commerciaux. Ce domaine du droit vise à encadrer les relations entre les entreprises, les clients, les partenaires commerciaux et l’État, tout en protégeant les droits des parties impliquées. Le droit des affaires est essentiel pour assurer le bon fonctionnement des transactions commerciales et la sécurité juridique des entreprises.
Que fait l’avocat en droit des affaires ?
L’avocat en droit des affaires joue un rôle clé en conseillant et en représentant ses clients dans divers aspects liés aux activités commerciales. Ses principales missions incluent :
1. Conseil juridique: L’avocat aide les entreprises à comprendre les lois et règlements applicables, leur permettant ainsi de prendre des décisions éclairées et conformes à la législation.
2. Rédaction et négociation de contrats: Que ce soit pour des contrats de vente, des accords de partenariat ou des baux commerciaux, l’avocat veille à ce que les documents légaux soient correctement rédigés et protègent les intérêts de ses clients.
3. Création et gestion de sociétés : L’avocat accompagne les entrepreneurs dans la création de leur entreprise, en les conseillant sur le choix de la structure juridique la plus adaptée et en s’occupant des formalités administratives.
4. Litiges commerciaux : En cas de conflit, l’avocat représente ses clients devant les tribunaux pour défendre leurs droits, que ce soit dans des affaires de non-respect de contrat, de concurrence déloyale ou de litiges entre associés.
Pourquoi prendre un avocat en droit des affaires ?
Faire appel à un avocat en droit des affaires présente plusieurs avantages :
1. Expertise juridique : Le droit des affaires est complexe et en constante évolution. Un avocat spécialisé possède les connaissances nécessaires pour naviguer dans ce domaine et anticiper les risques juridiques.
2. Protection de vos intérêts : L’avocat veille à ce que vos droits soient respectés et que vos contrats soient équilibrés, minimisant ainsi le risque de litiges futurs.
3. Résolution des litiges : En cas de conflit, un avocat expérimenté saura trouver des solutions amiables ou, si nécessaire, défendre vos intérêts devant un tribunal.
4. Gain de temps et d’efficacité : En confiant vos affaires juridiques à un professionnel, vous pouvez vous concentrer sur le développement de votre entreprise, tout en étant assuré que vos intérêts sont protégés.
Conclusion
Le droit des affaires est un domaine fondamental qui nécessite une connaissance approfondie des lois et des règlements. L’avocat en droit des affaires est un allié précieux pour toute personne impliquée dans des activités commerciales. Que ce soit pour obtenir des conseils, rédiger des contrats ou résoudre des conflits, faire appel à un avocat spécialisé est souvent la meilleure solution pour protéger vos intérêts et assurer la pérennité de votre entreprise.
Comment résoudre un conflit entre associés avec l’aide d’un avocat ?
Les conflits entre associés sont des situations délicates qui peuvent survenir au sein d’une entreprise. Ces désaccords peuvent avoir des conséquences significatives, affectant la stratégie de l’entreprise, une éventuelle revente, ou encore une augmentation de capital. Ces conflits, s’ils ne sont pas résolus rapidement, peuvent menacer le bon fonctionnement, voire la survie de l’entreprise. Pour prévenir de tels litiges, un pacte d’associés peut être établi. Cependant, même avec cette précaution, des conflits peuvent toujours apparaître, nécessitant des solutions extrajudiciaires ou judiciaires.
Rôle de l’avocat dans la résolution des conflits entre associés
Lorsqu’un conflit éclate entre associés, le recours à un avocat spécialisé en droit des sociétés est fortement conseillé. Cet expert peut vous guider dans le choix de la procédure à suivre, qu’elle soit extrajudiciaire ou judiciaire. La première étape pour résoudre un litige est de déterminer sa nature, car cela influencera les actions à entreprendre devant le tribunal de commerce. Les procédures possibles incluent l’action en abus, la nomination d’un administrateur provisoire ou d’un mandataire ad hoc, la contestation d’une révocation, ou même la dissolution de la société.
1. Solutions extrajudiciaires pour les conflits entre associés
Avant d’envisager une action en justice, il est souvent préférable de tenter une résolution amiable du conflit. Deux méthodes principales peuvent être utilisées : la médiation et la conciliation.
1. Médiation : Ce processus implique l’intervention d’un médiateur, qui peut être une personne phsique ou morale indépendante. La médiation est une solution payante et ne peut être envisagée que si le litige n’est pas déjà en cours de traitement par un juge ou un autre médiateur.
2. Conciliation : Cette méthode consiste à faire appel à un conciliateur de justice, qui est un auxiliaire de justice assermenté. Contrairement à la médiation, la conciliation est gratuite et peut être demandée avant ou après le début d’une procédure judiciaire. Pour initier une conciliation, le dirigeant doit adresser une requête au président du tribunal de commerce où se trouve le siège de l’entreprise.
Points clés à retenir concernant les solutions extrajudiciaires :
– La médiation est payante et exclusive de toute procédure judiciaire en cours, tandis que la conciliation est gratuite et peut être utilisée même après la saisine de la justice.
– Ces méthodes permettent souvent de résoudre les conflits de manière plus rapide et moins coûteuse qu’une action en justice.
2. Le cadre judiciaire des conflits entre associés
Si la négociation amiable échoue, il est possible de recourir à des solutions judiciaires comme la désignation d’un mandataire ad hoc ou d’un administrateur provisoire. Le tribunal compétent pour statuer sur le litige est généralement le tribunal de commerce du lieu où se trouve le siège de l’entreprise. Les solutions judiciaires varient en fonction du type de conflit :
1. Action en abus de majorité ou de minorité : Un abus de majorité ou de minorité se produit lorsqu’un associé prend une décision qui va à l’encontre de l’intérêt de l’entreprise pour favoriser ses intérêts personnels. L’associé lésé peut demander au juge d’annuler la décision contestée. Il est important de noter que la charge de la preuve incombe à l’associé demandeur.
2. Recours à un tiers : Dans certains cas, le tribunal peut désigner un mandataire ad hoc ou un administrateur provisoire. Le mandataire ad hoc intervient de manière préventive pour résoudre les conflits avant qu’ils n’entraînent une cessation de paiement. L’administrateur provisoire, quant à lui, gère temporairement l’entreprise pour surmonter la crise.
3. Contestation de la révocation pour juste motif : Un conflit peut également survenir si un associé cumulant un mandat social est révoqué sans juste motif. Dans ce cas, le dirigeant révoqué peut demander une indemnisation en prouvant l’absence de motif valable pour sa révocation.
4. Dissolution pour mésentente : En cas de blocage structurel irréversible, un associé peut demander la dissolution de la société pour mésentente. Cette décision est prise par le tribunal uniquement si la mésentente paralyse le fonctionnement de l’entreprise.
Points clés à retenir concernant les solutions judiciaires :
– Les solutions incluent l’action en abus, la désignation d’un mandataire ad hoc ou d’un administrateur provisoire, la contestation de révocation, et la dissolution pour mésentente.
– Chaque solution est spécifique au type de litige et nécessite souvent l’accompagnement d’un avocat spécialisé en droit des sociétés.
En conclusion, les conflits entre associés peuvent être résolus à l’amiable ou par voie judiciaire. Bien que la procédure judiciaire puisse être longue et complexe, l’accompagnement par un avocat spécialisé en droit des affaires est essentiel pour naviguer dans ce processus. En anticipant les conflits potentiels grâce à des accords clairs et en choisissant la bonne stratégie de résolution, les associés peuvent protéger les intérêts de leur entreprise et assurer sa pérennité.
Autre articles sur le sujet : 1. https://entreprendre.service-public.fr/vosdroits/F22295
2. https://www.village-justice.com/articles/conflit-entre-associes-comment-separer-associe-malgre-son-refus-quitter,43692.html
Le Rôle de l’Avocat en Contentieux des Affaires : Un Pilier essentiel pour les procédures commerciales
Dans le monde des affaires, les litiges peuvent survenir fréquemment, nécessitant une intervention d’un avocat. L’avocat en contentieux des affaires joue un rôle crucial dans la représentation et la défense des intérêts de ses clients lors de diverses procédures devant le Tribunal de commerce. Cet article explore le rôle de l’avocat dans quatre procédures clés : l’injonction de payer, le référé, la procédure au fond, et l’appel.
1. Procédure d’Injonction de Payer devant le Tribunal de Commerce
L’injonction de payer est une procédure rapide et efficace pour recouvrer une créance impayée. L’avocat joue un rôle central dès le début de cette procédure. Il assiste le créancier dans la préparation de la requête en injonction de payer, s’assurant que toutes les pièces justificatives nécessaires sont réunies et conformes aux exigences légales. Grâce à son expertise, l’avocat évalue la validité de la créance et anticipe les éventuelles contestations du débiteur. En cas d’opposition de ce dernier, l’avocat prépare la défense de son client pour une audience éventuelle devant le tribunal.
2. Référé devant le Tribunal de Commerce en Cas d’Urgence ou d’Évidence
Le référé est une procédure d’urgence permettant d’obtenir rapidement des mesures provisoires. L’avocat est indispensable pour démontrer l’urgence ou l’évidence du droit à faire valoir. Il rédige les conclusions de référé, en mettant en avant les arguments juridiques et factuels convaincants. Lors de l’audience, l’avocat plaide pour obtenir une ordonnance favorable à son client. Sa capacité à articuler des arguments clairs et à répondre aux questions du juge est cruciale pour le succès de la procédure.
3. Procédure au Fond devant le Tribunal de Commerce
Lorsque le litige nécessite un examen approfondi, une procédure au fond est engagée. L’avocat accompagne son client tout au long de cette démarche, depuis l’assignation en justice jusqu’à l’audience. Il collecte et analyse les preuves, élabore la stratégie de défense, et rédige les écritures nécessaires. L’avocat joue également un rôle de conseiller stratégique, aidant son client à comprendre les enjeux et les implications de chaque étape. Lors de l’audience, il plaide pour obtenir un jugement définitif favorable, en s’appuyant sur une argumentation juridique solide et des preuves convaincantes.
4. Appel devant la Cour d’Appel Compétente
Si le jugement de première instance est contesté, l’avocat guide son client dans la procédure d’appel. Il identifie les points de droit ou de fait susceptibles d’être réexaminés et prépare les conclusions d’appel. L’avocat peut introduire de nouveaux éléments ou arguments pour renforcer la position de son client. Devant la Cour d’appel, il plaide avec rigueur pour obtenir une révision du jugement initial. L’avocat doit également conseiller son client sur les chances de succès de l’appel et les risques associés.
Conclusion
L’avocat en contentieux des affaires est un acteur clé dans la gestion des litiges commerciaux. Sa connaissance approfondie des procédures judiciaires et sa capacité à élaborer des stratégies efficaces sont indispensables pour défendre les intérêts de ses clients. Que ce soit pour une injonction de payer, un référé, une procédure au fond, ou un appel, l’avocat apporte une valeur ajoutée inestimable, assurant que chaque étape du processus judiciaire est abordée avec compétence et diligence.
La Vente d’un Fonds de Commerce : Étapes Clés et Rôle de l’Avocat
La vente d’un fonds de commerce est une opération complexe qui nécessite une attention particulière à chaque étape du processus. Que vous soyez vendeur ou acheteur, il est essentiel de comprendre les étapes impliquées et l’importance d’avoir un avocat à vos côtés. Cet article explore en détail les étapes de la vente d’un fonds de commerce et le rôle crucial que joue un avocat dans cette transaction.
1. Comprendre le Fonds de Commerce
Avant de plonger dans le processus de vente, il est important de comprendre ce qu’est un fonds de commerce. Il s’agit d’un ensemble d’éléments corporels et incorporels, tels que le nom commercial, la clientèle, le droit au bail, les équipements, et les licences nécessaires à l’exploitation de l’entreprise.
2. Les Étapes de la Vente d’un Fonds de Commerce
a. Évaluation du Fonds de Commerce
La première étape consiste à évaluer la valeur du fonds de commerce. Cette évaluation prend en compte plusieurs facteurs, y compris le chiffre d’affaires, la rentabilité, l’emplacement, et les perspectives de croissance. Un expert-comptable ou un évaluateur professionnel peut être sollicité pour obtenir une estimation précise.
b. Préparation de la Vente
Une fois l’évaluation réalisée, le vendeur doit rassembler tous les documents nécessaires, tels que les bilans financiers, les contrats de travail, les baux commerciaux, et les licences d’exploitation. Cette transparence est cruciale pour instaurer la confiance avec le potentiel acheteur.
c. Recherche d’Acheteurs
Le vendeur peut rechercher des acheteurs par le biais d’annonces dans des médias spécialisés, de réseaux professionnels, ou de plateformes en ligne. Il est également possible de confier cette tâche à un agent immobilier spécialisé dans les fonds de commerce.
d. Négociation et Promesse de Vente
Une fois un acheteur intéressé trouvé, la négociation des termes de la vente commence. Cela inclut le prix de vente, les modalités de paiement, et les conditions suspensives. Une promesse de vente est ensuite rédigée, engageant les deux parties à conclure la vente sous certaines conditions.
e. Vérifications Préalables
L’acheteur doit effectuer des vérifications préalables, également appelées “due diligence”, pour s’assurer que le fonds de commerce est conforme à la présentation qui en a été faite. Cela inclut l’examen des états financiers, des contrats, et des éventuels litiges en cours.
f. Acte de Vente
Une fois toutes les conditions remplies, l’acte de vente définitif est rédigé et signé par les deux parties. Cet acte doit être enregistré auprès des autorités compétentes, et le prix de vente est généralement versé à ce moment-là.
g. Formalités Post-Vente
Après la vente, plusieurs formalités administratives doivent être accomplies, telles que l’enregistrement de la vente auprès du greffe du tribunal de commerce, la publication dans un journal d’annonces légales, et la mise à jour des registres commerciaux.
3. Le Rôle de l’Avocat dans la Vente d’un Fonds de Commerce
a. Conseil Juridique et Stratégique
Un avocat spécialisé en droit des affaires offre des conseils juridiques et stratégiques tout au long du processus de vente. Il aide à évaluer les risques juridiques et à anticiper les problèmes potentiels.
b. Rédaction et Vérification des Documents
L’avocat joue un rôle clé dans la rédaction et la vérification de tous les documents juridiques, y compris la promesse de vente et l’acte de vente. Il s’assure que tous les termes sont clairement définis et conformes aux lois en vigueur.
c. Négociation des Termes de la Vente
L’avocat assiste son client lors des négociations pour obtenir les meilleures conditions possibles. Il veille à ce que les intérêts de son client soient protégés et que les obligations légales soient respectées.
d. Assistance lors des Vérifications Préalables
L’avocat accompagne l’acheteur lors des vérifications préalables, en s’assurant que toutes les informations fournies sont exactes et complètes. Il peut également aider à résoudre les problèmes découverts lors de cette étape.
e. Accomplissement des Formalités Légales
Après la vente, l’avocat s’assure que toutes les formalités légales et administratives sont correctement accomplies. Cela inclut l’enregistrement de la vente et la publication des annonces légales.
Conclusion
La vente d’un fonds de commerce est une opération complexe qui nécessite une préparation minutieuse et une expertise juridique. Un avocat spécialisé en droit des affaires est un partenaire essentiel dans ce processus, offrant des conseils, rédigeant des documents juridiques, et s’assurant que toutes les étapes sont menées à bien. Pour toute entreprise impliquée dans la vente ou l’achat d’un fonds de commerce, l’accompagnement d’un avocat est un gage de sécurité et de succès.
Avocat bail commercial: Focus sur le bail commercial
- Qu’est ce qu’un contrat de bail commercial ?
Un contrat de bail commercial est un accord juridique conclu entre un propriétaire (bailleur) et un locataire (preneur) pour la location d’un bien immobilier utilisé à des fins commerciales, tel qu’un magasin, un bureau ou un entrepôt. Ce type de contrat est régi par le Code de commerce et offre des protections spécifiques au locataire, notamment en termes de durée du bail, de renouvellement et de fixation du loyer. Il est généralement plus long et plus complexe qu’un contrat de bail résidentiel, et il est important de comprendre ses termes et conditions avant de le signer.
Si vous avez des questions spécifiques concernant un contrat de bail commercial, notre équipe d’avocats experts en droit immobilier est à votre écoute.
2- A quoi sert le droit des baux commerciaux ?
Le droit des baux commerciaux a pour objectif de réguler les relations entre les propriétaires et les locataires de locaux commerciaux. Il offre une protection juridique aux deux parties en établissant des règles spécifiques concernant la durée du bail, les conditions de location, les obligations des parties, les modalités de renouvellement et de résiliation du bail, ainsi que les éventuelles indemnités en cas de départ anticipé.
Pour les locataires, le droit des baux commerciaux garantit une certaine stabilité et sécurité dans l’exploitation de leur activité commerciale. Ils peuvent bénéficier d’un droit au renouvellement du bail, ce qui leur permet de continuer à occuper les locaux pour une durée déterminée et d’éviter ainsi les risques de voir leur bail résilié sans préavis. De plus, le droit des baux commerciaux prévoit des règles spécifiques en matière de fixation du loyer, de révision et de plafonnement, ce qui offre aux locataires une certaine protection contre des augmentations excessives.
Pour les propriétaires, le droit des baux commerciaux leur confère des droits et des garanties en matière de récupération des locaux, de fixation du loyer et de résolution des conflits éventuels avec les locataires.
En résumé, l’intérêt du droit des baux commerciaux est de créer un cadre juridique équilibré et protecteur pour les propriétaires et les locataires de locaux commerciaux, favorisant ainsi la stabilité et la sécurité des activités commerciales.
Notre cabinet d’avocats experts en baux commerciaux vous assiste au quotidien pour assurer la stabilité et la sécurité de vos activités commerciales en intervenant à toutes les étapes de la vie d’un bail commercial.
3- Suis-je éligible au statut des baux commerciaux ?
Le statut des baux commerciaux est destiné aux locataires exerçant une activité commerciale, industrielle ou artisanale dans les locaux loués. Cela inclut les commerçants, les artisans, les professions libérales, les entreprises industrielles, etc. Cependant, il est important de noter que certaines activités spécifiques peuvent être exclues du statut des baux commerciaux.
Nos avocats en baux commerciaux vous aideront à vérifier votre éligibilité au statut des baux commerciaux.
4- Quels sont les différentes catégories de baux commerciaux ?
Il existe principalement trois types de baux commerciaux : le bail professionnel, le bail commercial et le bail mixte.
- Le bail professionnel est destiné à la location de locaux utilisés pour l’exercice d’une activité professionnelle non commerciale, telle que les professions libérales (avocats, médecins, etc.). Ce type de bail est régi par le Code civil et offre une réglementation moins contraignante que le bail commercial.
- Le bail commercial concerne la location de locaux utilisés pour l’exercice d’une activité commerciale, industrielle ou artisanale. Il est régi par le Code de commerce et offre une protection importante au locataire, notamment en matière de renouvellement du bail et de fixation du loyer. La durée minimale d’un bail commercial est de 9 ans, mais il peut être conclu pour une durée plus longue.
- Le bail mixte est un contrat de location qui concerne des locaux utilisés à la fois pour une activité commerciale et une activité professionnelle non commerciale. Il est régi par les dispositions du bail commercial pour la partie commerciale et par celles du bail professionnel pour la partie non commerciale.
Aussi, il est important de noter que chaque type de bail a ses propres spécificités et obligations pour le bailleur et le locataire.
Il est donc recommandé de consulter des avocats experts en droit des baux commerciaux pour obtenir des informations plus précises en fonction de votre situation spécifique. L’équipe d’avocats de Genius avocats, experts en droit des baux commerciaux saura vous conseiller au mieux de vos intérêts.
5- Le bail commercial doit-il être écrit ou verbal ?
Le bail commercial peut être oral ou écrit.
En pratique, le bail commercial est établi par écrit.
Un bail commercial écrit permet de définir clairement les obligations de chacune des parties et les informations essentielles, telles que la durée du bail, le montant du loyer, les charges, les conditions de renouvellement, etc.
Il est important de conserver une copie du bail signé par les deux parties pour éviter tout litige éventuel.
Notre équipe d’avocats experts en baux commerciaux vous assiste et vous conseille en vue de la rédaction et de la signature de votre bail commercial.
6- Quels sont les droits et les devoirs d’un locataire d’un bail commercial ?
Les principaux droits du locataire d’un bail commercial sont :
- Jouir paisiblement des locaux loués pour l’activité commerciale prévue dans le bail ;
- Renouveler le bail à l’expiration de la période initiale, sauf exceptions prévues par la loi ;
- Céder ou sous-louer les locaux avec l’accord du propriétaire ;
- Bénéficier d’un préavis de six mois en cas de congé donné par le propriétaire ;
- Obtenir une indemnité d’éviction en cas de non-renouvellement du bail.
Les principaux devoir du locataire d’un bail commercial sont :
- Payer le loyer et les charges dans les délais convenus ;
- Entretenir les locaux et effectuer les réparations locatives ;
- Utiliser les locaux conformément à leur destination commerciale ;
- Respecter les règles d’urbanisme et les normes de sécurité ;
- Informer le propriétaire de toute modification de l’activité commerciale.
Notre cabinet d’avocats experts en baux commerciaux vous assiste au quotidien pour que vos droits soient respectés et vous conseille quant à vos devoirs.
7- Quels sont les droits et les devoirs du propriétaire d’un bail commercial ?
Les principaux droits du propriétaire d’un bail commercial sont :
- Percevoir le loyer et les charges dans les délais convenus ;
- Résilier le bail en cas de manquement grave du locataire ;
- Refuser la cession ou la sous-location des locaux dans certains cas ;
- Réclamer une indemnité d’occupation en cas de maintien du locataire sans droit ni titre.
Les principaux devoirs du propriétaire d’un bail commercial sont :
- Mettre à disposition des locaux conformes à la destination commerciale prévue dans le bail ;
- Entretenir les parties communes et effectuer les réparations importantes ;
- Respecter le droit de renouvellement du bail du locataire ;
- Informer le locataire de toute modification des charges.
Notre cabinet d’avocats spécialisés en baux commerciaux vous assiste au quotidien pour que vos droits soient respectés et vous conseille quant à vos devoirs.
8- Quel est le rôle d’un avocat en bail commercial dans le cadre d’un bail commercial ?
Dans le cadre d’un bail commercial, un avocat expert en bail commercial peut jouer un rôle crucial. Voici quelques-unes des tâches qu’un avocat peut accomplir :
- Conseil juridique : Un avocat peut fournir des conseils juridiques sur les droits et obligations du locataire et du bailleur en vertu de la loi sur les baux commerciaux. Il peut vous aider à comprendre vos droits et à prendre les bonnes décisions ;
- Négociation du bail : un avocat peut vous aider à négocier les termes du bail, y compris la durée, le loyer, les charges, les clauses de résiliation, etc. Il peut s’assurer que vos intérêts sont protégés et que le bail est équitable ;
- Rédaction du bail : un avocat peut rédiger le bail pour vous, en veillant à ce que toutes les clauses nécessaires soient incluses et que vos intérêts soient protégés. Il peut également vous aider à comprendre les implications juridiques de chaque clause ;
- Contentieux : En cas de litige entre le locataire et le bailleur, un avocat peut représenter votre intérêt devant les tribunaux. Il peut vous aider à préparer votre défense, à recueillir des preuves et à présenter vos arguments de manière convaincante;
Conclusion
Il est important de noter que les informations fournies ici sont générales et qu’il est toujours préférable de consulter nos avocats experts en bail commercial pour obtenir des conseils juridiques spécifiques à votre situation.
Comprendre le Congé dans le Cadre d’un Bail Commercial
Le congé dans un bail commercial est un acte unilatéral par lequel l’une des parties, qu’il s’agisse du locataire ou du propriétaire, exprime son intention de mettre fin au contrat de location. Ce processus est régi par des règles spécifiques énoncées dans le Code de commerce, notamment l’article L. 145-4 et suivants. Une décision clé de la Cour de cassation, rendue le 9 février 2017 (n° 16-10.350), a également apporté des clarifications importantes à ce sujet.
1. Conditions de Validité du Congé
Pour qu’un congé soit valide, il doit respecter certaines conditions relatives à l’auteur, au destinataire, aux délais, ainsi qu’à la forme et au contenu.
1.1 Auteur et Destinataire du Congé
Le bail commercial impose une durée contractuelle que le propriétaire ne peut généralement pas rompre avant son terme, sauf dans des cas spécifiques prévus par la loi. Le congé peut être délivré par le propriétaire ou son représentant au locataire, ou inversement. En cas de plusieurs locataires, chaque locataire doit recevoir le congé, sauf en présence d’une clause de solidarité. Pour les propriétaires multiples, le congé s’applique à tous. La capacité requise pour délivrer ou recevoir un congé est généralement la même que celle nécessaire pour signer le bail, sauf pour l’usufruitier qui peut agir seul.
1.2 Délais du Congé
– Congé Triennal: Le locataire peut donner congé à la fin de chaque période de trois ans, avec un préavis d’au moins six mois. Certaines exceptions existent, notamment pour les baux de plus de neuf ans ou pour des locaux spécifiques. Les propriétaires ont des droits similaires dans certains cas, comme pour des travaux de rénovation ou de démolition.
– Congé en Fin de Bail : Les parties peuvent donner congé à l’échéance du bail, avec un préavis d’au moins six mois. Ce délai peut être prolongé par contrat mais non raccourci. En cas de prolongation tacite, le congé peut être donné à tout moment, avec un préavis de six mois.
– Effet d’un Congé Tardif ou Prématuré: Un congé donné tardivement n’est pas nul mais prend effet au dernier jour du trimestre suivant. Un congé prématuré est valide mais son effet est reporté à l’échéance du bail.
1.3 Forme et Contenu du Congé
– Congé du Bailleur : Doit être délivré par acte extrajudiciaire, faute de quoi il est nul. Il doit exprimer clairement l’intention de mettre fin au bail et mentionner les motifs, notamment si le locataire souhaite contester ou demander une indemnité d’éviction.
– Congé du Preneur: Pour un congé triennal, le locataire peut choisir entre une lettre recommandée avec accusé de réception ou un acte extrajudiciaire. Pour un congé à l’échéance du bail, un huissier est requis. Le locataire n’a généralement pas besoin de motiver son congé.
2. Effets du Congé
La délivrance d’un congé est essentielle pour mettre fin au bail, mais elle n’entraîne pas immédiatement la fin de l’occupation. Sans congé, le bail se poursuit à durée indéterminée selon les conditions initiales. Le locataire reste responsable du paiement des loyers, même s’il a quitté les lieux. Si le congé est accompagné d’une offre de renouvellement acceptée, un nouveau bail est créé. Sinon, le locataire peut rester jusqu’au paiement de l’indemnité d’éviction, si applicable.
Guide Complet sur la Fixation et la Révision des Loyers Commerciaux
1. Fixation du Loyer Initial
La fixation du loyer initial dans un bail commercial est un processus crucial qui doit être effectué avec soin. Les parties impliquées ont la liberté de déterminer le montant du loyer, conformément à l’article L. 145-33 du Code de commerce. Il est important de noter que le loyer ne peut pas être imposé par une décision judiciaire basée sur la valeur locative. Les parties peuvent choisir un loyer fixe ou opter pour une révision conventionnelle en intégrant des clauses d’indexation ou des clauses recettes. À l’entrée dans les lieux, des frais tels que le droit d’entrée et le dépôt de garantie peuvent s’appliquer, en plus des charges locatives définies par la loi « Pinel ».
2. Loyer du Bail Renouvelé
Lors du renouvellement d’un bail, le loyer est généralement fixé à l’amiable. Cependant, en cas de désaccord, le juge peut intervenir. Selon les articles L. 145-34 et L. 145-35 du Code de commerce, la variation du loyer ne doit pas dépasser celle de l’indice trimestriel des loyers commerciaux (ILC) ou des activités tertiaires (ILAT). Il existe des exceptions à ce principe, notamment dans les cas de déplafonnement.
2.1 Déplafonnement du Loyer
Le déplafonnement peut se produire dans des situations spécifiques, par exemple, si le bail a duré plus de neuf ans ou en cas de modification notable des éléments de la valeur locative. Dans ces cas, le loyer est ajusté en fonction de la valeur locative.
3. Révision du Loyer
La révision du loyer peut être demandée tous les trois ans pour refléter la valeur locative actuelle. Cette révision, régie par les articles L. 145-33 et L. 145-38, nécessite une procédure formelle et peut être initiée par le bailleur ou le locataire.
3.1 Procédure de Révision
La demande de révision doit être formalisée par voie extrajudiciaire ou par lettre recommandée et préciser le montant souhaité. Si un accord n’est pas atteint, le juge peut déterminer le loyer révisé.
3.2 Fixation du Loyer Révisé
La loi « Pinel » impose que la variation du loyer ne dépasse pas 10% par an, sauf preuve d’une modification des facteurs locaux de commercialité. Un expert peut être nécessaire pour évaluer la valeur locative.
3.3 Clause d’Échelle Mobile
Une clause d’échelle mobile permet d’ajuster le loyer annuellement selon un indice choisi. Si cette clause entraîne une variation de plus de 25%, une révision peut être demandée pour aligner le loyer sur la valeur locative.
3.4 Clause-Recettes
Les clauses-recettes, qui ajustent le loyer en fonction du chiffre d’affaires, ne sont pas sujettes à la révision légale ou judiciaire. Le loyer est fixé selon les termes convenus par les parties.
Guide Pratique sur le Refus de Renouvellement de Bail Commercial et l’Indemnité d’Éviction
Le renouvellement d’un bail commercial est une étape cruciale pour les locataires et les bailleurs. Cependant, il arrive parfois que le bailleur refuse ce renouvellement. Ce refus peut être accompagné ou non d’une indemnité d’éviction, selon les circonstances. Cet article explore en détail les différents aspects du refus de renouvellement de bail commercial, les conditions dans lesquelles une indemnité d’éviction est due, et les droits et obligations des parties concernées.
1. Refus de Renouvellement avec Indemnité d’Éviction
Lorsqu’un bailleur décide de ne pas renouveler un bail commercial, il peut le faire sans fournir de justification, à condition de proposer une indemnité d’éviction au locataire. Cette indemnité vise à compenser le préjudice subi par le locataire en raison de son éviction.
1.1 Fixation de l’Indemnité d’Éviction
L’indemnité d’éviction est calculée en fonction du préjudice subi par le locataire. Elle comprend généralement une indemnité principale et des indemnités accessoires. L’indemnité principale correspond à la valeur marchande du fonds de commerce, souvent calculée comme un pourcentage du chiffre d’affaires des trois dernières années. Les indemnités accessoires incluent les frais de déménagement et de réinstallation, ainsi que les frais et droits de mutation pour un fonds de même valeur.
La charge de la preuve du préjudice incombe au locataire, qui doit démontrer le lien entre l’éviction et le préjudice subi, ainsi que son montant. L’évaluation de l’indemnité se fait au moment le plus proche de la réalisation du préjudice et à la date de l’éviction.
1.2 Règlement de l’Indemnité d’Éviction
Le bailleur est responsable du paiement de l’indemnité d’éviction. En cas de condamnation par la justice, le bailleur doit s’acquitter de cette somme dans le mois suivant la décision. Tant que l’indemnité n’est pas intégralement payée, le locataire a le droit de rester dans les lieux aux conditions du contrat expiré, même s’il n’est plus immatriculé au registre du commerce. Le locataire doit toutefois respecter ses obligations et payer une indemnité d’occupation équivalente au loyer.
Une fois l’indemnité réglée, le locataire doit restituer les lieux dans les trois mois suivant le paiement, sous peine de pénalités.
1.3 Droit de Repentir du Bailleur
Le bailleur dispose d’un droit de repentir, lui permettant de rétracter son refus de renouvellement et de proposer un renouvellement du bail. Ce droit peut être exercé tant que le locataire n’a pas quitté les lieux ou trouvé un nouvel emplacement. Le bailleur doit notifier sa décision dans les quinze jours suivant la décision de justice fixant l’indemnité. L’exercice de ce droit est irrévocable et entraîne le renouvellement automatique du bail.
2. Refus de Renouvellement sans Indemnité d’Éviction
Dans certains cas, le bailleur peut refuser le renouvellement du bail sans avoir à verser d’indemnité d’éviction. Cela est possible si le bailleur justifie d’un motif grave et légitime, ou s’il souhaite exercer un droit de reprise.
2.1 Motif Grave et Légitime
Pour invoquer un motif grave et légitime, le bailleur doit notifier le locataire par acte extrajudiciaire, en précisant les griefs reprochés. Ces motifs peuvent inclure des manquements aux obligations du bail ou un comportement inapproprié du locataire. Le bien-fondé du motif est évalué par les juges du fond.
2.2 Exercice d’un Droit de Reprise
Le droit de reprise permet au bailleur de récupérer les locaux pour des raisons spécifiques, telles que :
– Démolir un immeuble insalubre ou dangereux.
– Habiter les locaux d’habitation accessoires au local commercial.
– Réaffecter les locaux à usage d’habitation.
– Construire un local d’habitation sur un terrain nu.
Ces raisons doivent être clairement justifiées et conformes aux dispositions légales.
Conclusion
Le refus de renouvellement d’un bail commercial est un processus complexe qui nécessite une compréhension approfondie des droits et obligations des parties. Que le refus soit accompagné ou non d’une indemnité d’éviction, il est crucial pour les locataires et les bailleurs de bien connaître les conditions légales et les procédures à suivre. Pour toute question ou situation particulière, il est recommandé de consulter un professionnel du droit spécialisé en baux commerciaux.
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